Coronavirus : Le scénario de la vengeance de Dame Nature
C’est l’un des titre choc qui apparait dans un article qui a fait grand bruit . Coronavirus.La destruction des écosystèmes par l'humain favorise l'émergence d'épidémies qui défend la thèse que « l’apparition de ces étonnants agents pathogènes nouveaux, comme le coronavirus responsable du Covid-19, n’est rien d’autre que le résultat de l’anéantissement des écosystèmes » En effet, le fragile équilibre des écosystèmes n’est pas encore compris dans sa globalité et les changements au niveau de la planète semblent avoir des répercussions dont on n’appréhende pas encore l’importance.
Le New Yorker dans un article au ton grinçant Effet papillon : du pangolin de Wuhan au rayon papier toilette de l’épicerie du coin explique que « le coronavirus offre une démonstration terrifiante de la théorie du chaos. »
L’analyse du chercheur bolivien, Carlos Zambrana-Torrelio interrogé dans l’article du magazine Anfibia fait un lien direct entre les bouleversements crée par les actions humaines et leurs conséquences qui favoriseront l’apparition ou la réapparition de certaines maladies qu’on appelle zoonoses, des maladies transmissibles de l’animal à l’homme. «Tout commence par la déforestation. À Bornéo, la fragmentation du couvert forestier est en train de provoquer une recrudescence du paludisme L’explication ? Dans des espaces ouverts, il y a de plus grands trous dans lesquels s’accumule l’eau où se reproduisent les moustiques. Ceux-ci vont transmettre le parasite [donnant la malaria] aux hommes qui, à proximité, exploitent les palmiers à huile.»
En dehors de la simplification a l’extrême, les conséquences des bouleversements des ecosystemes avec les déséquilibres engendrés par les pollutions, les changements climatiques et la disparition de la biodiversité semble aussi un avertissement de la nécessite de revoir notre mode de vie et d’en tirer les leçons. C’est également la thèse présentée par un article paru dans Le Devoir La destruction de la nature, une source de pandémies
Et vous qu’en pensez-vous ? Carlos Zambrana-Torrelio résume en conclusion « Nous devons arrêter de penser que nous, les êtres humains, sommes un élément indépendant du système. » Y a-t-il des possibilités de travail et d’évolution autour d’une « économie verte » respectueuse et différente des modelés de vie et de consommations extrêmes ?
En vous appuyant sur les articles cités et en utilisant des exemples, vous publierez votre réflexion argumentée dans les commentaires ci-dessous.
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